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Cap sur un métier futuriste : le mentor d’intelligence artificielle

De plus en plus nombreuses et sophistiquées, les technologies associées à l’intelligence artificielle posent le problème de la protection de la vie privée et par conséquent de la sécurité des systèmes développés sur la base de l’IA.

Il n’est plus question aujourd’hui de développer des outils technologiques de haut vol, mais d’en assurer la surveillance et surtout de réguler leur manipulation par des tiers ; ce qui appelle à la réflexion sur de nouveaux métiers.

 

 

En quoi consisterait le métier de mentor d’intelligence artificielle ?

Le mentor d’IA c’est un professionnel de niveau expert qui s’occupe d’évaluer les technologies dérivées de l’intelligence artificielle. Sa mission pourrait s’étendre à « former les IA sur leurs modalités d’accès aux données et de poser les limites à leur évolution », entre autres.

Plus lesdites technologies vont se complexifier et augmenter en nombre, plus la demande en experts de ce type va augmenter.  Ces derniers pourraient avoir des assistants spécialisés dans le développement de systèmes d’arrêt automatique dont le rôle sera d’empêcher les IA de fonctionner de manière autonome.

D’où l’intérêt d’anticiper sur les dysfonctionnements potentiels et de mettre en place des plans de secours alternatifs en cas de plantage des ordinateurs. Dans cette perspective, william Gibson a élaboré le concept de « police de Turing », désignant une « force capable de contrôler l'IA et les systèmes qui en dépendent ».

Source : Journaldunet

 

Vanessa Ntoh

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